Editions Plagiatavec pour volonté une révolution efficace et sans compromis. |
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1 Notes éditoriales d’I.S. 7 2 3 4 5 6 7 (Programme élémentaire d’urbanisme unitaire, I.S. 6) 8 9 10 11 12 13 14 « Attendu que la colonne Vendôme est un monument dénué de toute valeur artistique, tendant à perpétuer par son expression les idées de guerre et de conquête qui étaient dans la dynastie impériale, mais que réprouve le sentiment d’une nation républicaine, [le citoyen Courbet] émet le vœu que le gouvernement de la Défense nationale veuille bien l’autoriser à déboulonner cette colonne. ». Le projet fut repris par la Commune qui le vota le 12 avril 1871. « La Commune de Paris, considérant que la colonne impériale de la place Vendôme est un monument de barbarie, un symbole de force brute et de fausse gloire, une affirmation du militarisme, une négation du droit international, une insulte permanente des vainqueurs aux vaincus, un attentat perpétuel à l’un des trois grands principes de la République française, la fraternité, décrète : article unique - La colonne Vendôme sera démolie.». La démolition du monument eut lieu le 8 mai suivant. Le maréchal de Mac-Mahon, décide en mai 1873 de faire reconstruire la colonne Vendôme aux frais de Gustave Courbet (soit 323 091,68 francs selon le devis établi).
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